Médailles, décorations et accessoires

Médailles d’Honneur Régionale, Départementale et Communale

La médaille d’honneur régionale, départementale et communale fait l’objet de deux promotions par an, les 1er janvier et 14 juillet.

La médaille d’honneur régionale, départementale et communale est destinée à récompenser les services rendus aux collectivités territoriales et à leurs établissements publics, y compris les offices publics d’habitation à loyer modéré et les caisses de crédit municipal.


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Médailles d’Honneur Régionale, Départementale et Communale

Ordre de la Légion d’Honneur

La Légion d’Honneur a été instituée par Bonaparte, Premier Consul. Instituée au lendemain de l’abolition de tous les titres de noblesse et de tous les ordres comme contraires à l’égalité des citoyens, il s’expliquait clairement dans ses Mémoires sur l’ordre qu’il avait fondé : « l’unique décoration de la Légion d’Honneur, avec l’universalité de son application, est le type de l’égalité. Cette institution met sur le même rang le prince, le maréchal et le tambour. »

Établir un Ordre qui fût un signe de la vertu, de l’honneur, de l’héroïsme ; une distinction qui servît à la fois à la bravoure militaire et au mérite civil, telle a été l’intention de son créateur.

Le succès et le prestige du nouvel Ordre furent tels que les événements politiques qui suivirent la chute de Napoléon Ier  n’eurent aucune influence sur sa destinée et que les divers régimes qui se succédèrent le reconnurent solennellement.


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Médaille militaire

La Médaille Militaire a été instituée par Louis-Napoléon Bonaparte, Président de la République Française, par décret du 22 janvier 1852 (article II). Ses caractéristiques ont été fixées par décret du 29 février 1852.

Elle fut créée en vue de récompenser les sous-officiers, caporaux, brigadiers, soldats ou marins, dont les noms auraient été cités à l’ordre de la Nation, qui auraient reçu une ou plusieurs blessures, et ceux qui se seraient signalés par un acte de courage.

La décoration est de couleur argent et d’un diamètre de 28 mm.

La Médaille Militaire porte, d’un côté, la tête de la République avec l’inscription RÉPUBLIQUE FRANÇAISE et de l’autre, au centre du médaillon VALEUR ET DISCIPLINE. Elle est surmontée d’un trophée d’armes. Les militaires et marins qui obtiennent la médaille la portent attachée par un ruban jaune avec un liseré vert sur le côté gauche de la poitrine.

Croix de Guerre 1914-1918

Dès le début de la guerre 1914-1918, eu égard à l’importance des armées mobilisées et à la prolongation des opérations, il parut nécessaire de créer une récompense spéciale destinée aux militaires titulaires d’une citation à l’ordre.

Créée par la loi du 8 avril 1915, la Croix de Guerre a eu pour but de «commémorer, depuis le début des hostilités, les citations individuelles pour faits de guerre à l’ordre des armées de terre et de mer, des corps d’armée, des divisions, des brigades et des régiments».

La Croix de Guerre 1914-1918 est en bronze florentin du module de 37 mm, à quatre branches, avec, entre les branches, deux épées croisées. Le centre représente, à l’avers, une tête de République au bonnet phrygien orné d’une couronne de laurier avec la légende REPUBLIQUE FRANCAISE. Elle porte au revers l’inscription 1914-1918.

La Croix de Guerre 1914-1918 est suspendue à un ruban vert avec liseré rouge à chaque bord et comptant cinq bandes rouges de 1,5 mm.

Des palmes ou des étoiles sont placées sur le ruban suivant la nature des citations obtenues (à l’ordre de l’armée, du corps d’armée, de la division et du régiment).

Croix de Guerre 1939-1945

Un décret loi du 26 septembre 1939 a institué « une croix, dite Croix de Guerre, pour commémorer les citations individuelles pour faits de guerre, à l’ordre des armées de terre, de mer et de l’air ».

La Croix de guerre 1939-1945 est identique à la Croix de Guerre 1914-1918 ; toutefois l’avers de la partie centrale porte l’inscription 1939.

Elle est suspendue à un ruban rouge de 37 mm de largeur, partagé par quatre bandes médianes vert foncé de 4 mm chacune, séparées entre elles de 1,5 mm.

Croix de la Valeur Militaire

La croix de la valeur militaire est destinée à récompenser les militaires ayant réalisé des actions d’éclats au cours d’opérations de sécurité ou de maintien de l’ordre.

Les étoiles ou les palmes prennent place sur le ruban de la décoration mais un seul insigne est porté quel que soit le nombre de citations obtenues.

La croix de la valeur militaire est du module de 37 mm à quatre branches en bronze florentin. Le centre représente, à l’avers l’effigie de la République avec les mots RÉPUBLIQUE FRANÇAISE et au revers l’inscription CROIX DE LA VALEUR MILITAIRE.

La croix est suspendue à un ruban écarlate d’une largeur de 36 mm coupé de trois bandes verticales blanches (une bande centrale de 7 mm, encadrée de deux bandes de 2 mm).

Médaille de la Gendarmerie Nationale

Un décret du 5 septembre 1949 a créé, sur la proposition du ministre de la Défense Nationale Paul Ramadier, une médaille d’honneur dite « Médaille de la Gendarmerie Nationale ».

Décernée par le ministre chargé des armées, la Médaille de la Gendarmerie Nationale récompense les officiers et sous-officiers qui ont fait l’objet d’une citation à l’ordre de la gendarmerie et les personnalités étrangères à l’arme qui ont rendu des services importants ou qui, par leur aide particulièrement méritoire à l’occasion de ses missions spéciales, se sont acquis des titres à sa reconnaissance.

Ruban : comporte une bande centrale jaune bordée de deux liserés blancs. Cette partie est encadrée de deux bandes bleu gendarme dont chacune est bordée à l’extérieur d’un liseré rouge vif.

Médaille : en bronze, elle porte sur une face un heaume empanaché reposant sur une épée avec la mention « Gendarmerie Nationale ». Sur l’autre face, elle présente une couronne de feuilles de chêne surmontée de la légende « Courage-Discipline ».

Bélière : incorporée à la médaille, elle représente une grenade enflammée entourée de feuillage.

Le ruban comporte un nombre de grenades égal au nombre de citations de cette catégorie obtenues successivement par le militaire en cause.

Médaille de la Gendarmerie Nationale

Médaille de la Résistance française

La Médaille de la Résistance Française a été instituée pour reconnaître les actes remarquables de foi et de courage qui, en France et à l’étranger, auront contribué à la Résistance du peuple Français contre l’ennemi et ses complices depuis le 18 juin 1940.

Ruban : noir, traversé par deux bandes rouges latérales et quatre autres bandes plus fines.

Médaille : elle est en bronze et porte à l’avers un bouclier frappé de la Croix de Lorraine avec la date «XVIII-VI-MCMXL» et au revers l’inscription «Patria non Immemor».

Rosette : couleur noire et rouge, apposée sur le ruban.

Médaille des évadés

La Médaille des évadés a été créée en 1925, suite à la demande de plusieurs associations d’évadés de la Première Guerre mondiale..

Elle est destinée à commémorer les actes ou les tentatives d’évasion accomplis par les prisonniers de guerre au cours de la Guerre 1914-1918 ou sur l’un des différents théâtres d’opérations extérieurs, quelle qu’ait été la durée de leur captivité. Il fallut attendre 1959 pour que paraissent les dispositions similaires relatives à la Guerre 1939-1945. Les dispositions initiales prévoyant le cas des évadés des théâtres d’opérations extérieures, la médaille des évadés a pu être décernée, sans nouveau texte, lors des opérations engagées après la deuxième Guerre Mondiale, en particulier en Extrême-Orient entre 1945 et 1954.

Ruban : vert, coupé dans le sens de la longueur de trois raies orange.

Médaille : en bronze, elle porte à l’avers l’effigie de la République Française et au revers, une couronne de feuilles de chênes avec au centre l’inscription « médaille des évadés ».

Médaille des évadés

Croix du Combattant Volontaire 1914-1918

La Croix du Combattant Volontaire 1914-1918 fut créée suite à l’insistance particulière des associations d’anciens combattants, pour que soit décernée une récompense particulière à ceux qui avaient été volontaires pour servir au front au sein d’une unité engagée dans les combats. La Croix du Combattant Volontaire de la Guerre 1914-1918 fut créée par la loi du 4 juillet 1935.

Cette croix a pour bénéficiaires les combattants de la Grande Guerre qui, n’étant pas contraints de combattre en raison de leur situation géographique ou de leur statut particulier ou de leur condition physique, ont néanmoins rejoint volontairement une formation de combat. Elle peut également être décernée aux volontaires étrangers qui ont combattu dans l’armée française sur l’un des fronts d’opérations.

Ruban : vert, avec, au milieu, une bande rouge et sur les bords une bande jaune.

Médaille : croix en bronze avec à l’avers la tête d’un poilu au centre au centre d’un médaillon avec la légende « République Française », le tout reposant sur une épée et un fond de feuillage de laurier. Au revers, l’inscription : « Combattant Volontaire 1914-1918 ».

Croix du Combattant Volontaire 1939-1945

Comme leurs aînés de 1914-1918, les anciens combattants de la guerre 1939-1945 demandèrent la création d’une Croix du Combattant Volontaire du conflit mondial auquel ils avaient participé. Une loi du 4 février 1953 leur donna satisfaction. Après la fin des conflits en Extrême-orient et en Corée, des demandes identiques furent formulées. Enfin après 1962, la même question se posa pour les anciens combattants d’Afrique du Nord.

Pour éviter la multiplication des croix du même genre à l’occasion des conflits futurs, la décision fut prise de créer une seule et unique Croix du Combattant Volontaire, décision matérialisée par les dispositions du décret du 8 septembre 1981. Ce texte abroge les mesures relatives à la Croix du Combattant Volontaire de la Guerre 1939-1945 et crée une nouvelle croix dont le ruban est orné de barrettes portant l’indication de la campagne ou de l’opération à laquelle a participé le combattant dont le volontariat a été reconnu.

Ruban : rouge avec au milieu, une bande verte et une bande jaune sur chaque bord.

Médaille : croix portant à l’avers, les mots « République Française » et au revers, l’inscription « Croix du Combattant Volontaire ».

Barrettes : « Guerre 1939-1945 », « Indochine », « Corée », « Afrique du Nord ».

Croix du Combattant Volontaire de la Résistance

La Croix du Combattant Volontaire de la Résistance a été instaurée par la loi du 15 avril 1954. Elle a remplacé la médaille commémorative qui était octroyée auparavant.

La Croix du Combattant Volontaire de la Résistance est en bronze doré, du module de 36 mm. Elle comporte, sur la face, une croix de Lorraine en relief, le revers porte l’inscription COMBATTANT VOLONTAIRE RÉSISTANCE. Elle est suspendue à un ruban par un anneau sans bélière. Le ruban, d’une largeur de 36 mm, est noir avec sur chaque bord une bande rouge de 5 mm de large ; il est coupé dans le sens de la longueur de quatre bandes vertes de 1 mm de largeur chacune, dont deux placées au milieu à 2 mm d’intervalle et les deux autres vers chacun des bords à 2 mm de la bande rouge.

Croix du Combattant

La Croix du Combattant est destinée « à signaler à l’attention de leurs concitoyens qui les ignorent les titres au respect des générations futures de ceux qui, au péril de leur vie, ont défendu la patrie ».

Aux termes de l’article 3 du décret du 24 août 1930 pris pour l’application de la loi, tous les mobilisés titulaires de la carte du combattant étaient autorisés à porter les insignes de la nouvelle décoration.

La Croix du Combattant est en bronze du module de 36 mm.

Elle porte l’inscription RÉPUBLIQUE FRANÇAISE et les mots CROIX DU COMBATTANT. Elle est suspendue au ruban par un anneau sans bélière.

Le ruban d’une largeur de 35 mm est bleu horizon et coupé, dans le sens de sa longueur, de sept raies de couleur rouge garance, d’une largeur uniforme de 1,5 mm.

Croix de Guerre des Théâtres d’Opérations Extérieures

La Croix de Guerre des Théâtres d’Opérations Extérieures a été instituée en vue de commémorer les citations individuelles obtenues aux divers échelons des armées de terre et de mer, au cours d’opérations menées après le 11 novembre 1918 pour services de guerre caractérisés, directement liés à l’expédition.

Les modalités d’attribution sont les mêmes que celles des Croix de Guerre 1914-1918 et 1939-1945.

La Croix de Guerre des Théâtres d’Opérations Extérieures est conforme au modèle de la Croix de Guerre 1914-1918, c’est à dire en bronze florentin du module de 37 mm à quatre branches, avec deux épées entre les branches. Le centre représente, à l’avers, une tête de République au bonnet phrygien orné d’une couronne de laurier. Il porte au revers l’inscription THÉÂTRES D’OPÉRATIONS EXTÉRIEURES.

La croix est suspendue à un ruban formé de trois bandes verticales, une bande centrale bleu clair, encadrée de deux bandes rouges ayant chacune la moitié de la largeur du bleu.

Des palmes ou des étoiles sont placées sur le ruban suivant la nature des citations obtenues.

Une fourragère aux couleurs de la Croix de Guerre des T.O.E. a été crée pour les unités titulaires de plusieurs citations à l’ordre de l’armée obtenues au cours d’une période d’opérations donnée et continue.

Médaille de Reconnaissance de la Nation

La Médaille de Reconnaissance de la Nation, qui succède à la Médaille d’Afrique du Nord fut créée par décret en 1997.

Elle est destinée à honorer ceux qui ont combattu au moins 90 jours au sein d’unités militaires de l’Armée française, d’armées alliées ou de forces internationales lors des conflits suivants :

  • Seconde guerre mondiale
  • Guerre d’Indochine
  • Afrique du Nord
  • Opérations extérieures

Ordre National du Mérite

Compte tenu du nombre de plus en plus important de récipiendaires de la Légion d’honneur, il est apparu souhaitable d’instituer un second Ordre national pour donner au gouvernement le moyen de récompenser des mérites ne présentant pas toutes les qualifications requises pour la Légion d’Honneur, et de faciliter, dans certains cas, l’octroi de décorations à des personnalités étrangères.

L’Ordre National du Mérite est destiné à récompenser les mérites distingués acquis soit dans une fonction publique, civile ou militaire, soit dans l’exercice d’une activité privée.

Il existe actuellement cinq grades : Chevalier, Officier, Commandeur, Grand Officier, Grand -croix.

La décoration du mérite est une étoile à six branches doubles émaillées de bleu, surmontée d’une bélière formée de feuilles de chênes entrecroisées. Le centre de l’étoile présente, d’un côté, l’effigie de la République avec l’inscription RÉPUBLIQUE FRANÇAISE et de l’autre, les deux drapeaux tricolores avec l’inscription ORDRE NATIONAL DU MÉRITE et la date 3 décembre 1963.

L’insigne de chevaliers, d’un diamètre de 40 mm, est couleur argent et se porte sur le côté de la poitrine attaché par un ruban bleu de France d’une largeur de 37 mm.

Les officiers portent à la même place un insigne de même diamètre en vermeil attaché par un ruban semblable à celui des chevaliers, mais comportant une rosette.

Les commandeurs portent en sautoir l’insigne couleur vermeil d’un diamètre de 60 mm attaché par un ruban moiré bleu de France de 40 mm.

Les grands officiers portent sur le côté droit de la poitrine une plaque ou étoile en argent, d’un diamètre de 90 mm, à douze rayons doubles boutonnés et douze rayons intercalaires émaillés de bleu, portant en son centre un médaillon représentant l’effigie de la République avec, un fond d’émail bleu, la légende « République française Ordre national du mérite », entouré d’une couronne de feuilles de laurier torsadées. Ils portent en outre la Croix d’officier.

Les Grands-croix portent en écharpe un ruban moiré bleu de France de 10 cm de large passant sur l’épaule droite et au bas duquel est attachée une croix semblable à celle des commandeurs mais de 70 mm de diamètre. De plus, ils portent sur le côté gauche de la poitrine une plaque semblable à celle des grands officiers mais en vermeil. Lorsqu’ils sont également Grands-croix de la Légion d’Honneur, les Grands-croix du mérite ne portent que la plaque ci-dessus décrite.

Le port des insignes de l’Ordre national du Mérite est soumis aux règles fixées pour le port des insignes de la Légion d’Honneur.

Ordre des Palmes Académiques

L’Ordre des Palmes Académiques est la plus ancienne des distinctions décernées uniquement à titre civil. Elle est destinée à récompenser les personnes qui participent à tous les niveaux de la fonction d’enseignement ou au développement des connaissances humaines dans tous les domaines.

Les Palmes deviennent un ordre à trois grades, à partir de 1955 :

  • Chevalier
  • Officier
  • Commandeur

L’insigne est constitué par la réunion de deux palmes émaillées de violet réunies pour former une couronne allongée. Le ruban est en moire violette d’une largeur de 32 millimètres.

Les Chevaliers portent une palme d’argent sur la gauche de la poitrine.

Les officiers portent sur la gauche de la poitrine une palme d’or avec large rosette sur le ruban.

Les commandeurs portent en sautoir sur un ruban plus large une grande palme d’or suspendue à une bélière représentant deux petites palmes recourbées en forme d’anneau.

Ordre du Mérite Agricole

L’Ordre National du Mérite Agricole est une décoration instituée en France en 1883 pour récompenser les services rendus à l’agriculture.

L’insigne représente une étoile émaillée de blanc appendue à un ruban dont la plus grande partie est verte, ce qui lui vaut le surnom de Poireau. Les deux liserés rouges qui bordent le ruban moiré vert symbolisent la prestigieuse institution de l’Ordre National de la Légion d’honneur.

L’Ordre National du Mérite Agricole comprend les grades de chevalier, d’officier et de commandeur.

Ordre des Arts et Lettres

L’ordre des Arts et des Lettres est une décoration honorifique française qui, gérée par le ministère de la Culture, récompense « les personnes qui se sont distinguées par leur création dans le domaine artistique ou littéraire ou par la contribution qu’elles ont apportée au rayonnement des arts et des lettres en France et dans le monde. »

L’ordre des Arts et des Lettres comprend trois grades :

  • le grade de chevalier
  • le grade d’officier
  • le grade de commandeur

Large de 37 millimètres, le ruban de l’ordre est composé de cinq bandes vert foncé séparées par quatre raies verticales blanches. En plus du ruban, les officiers ont une rosette, les commandeurs portant une cravate en sautoir.

L’insigne consiste en une croix double face à huit branches émaillée de vert et sertie d’une arabesque argentée ou dorée pour les officiers et commandeurs, ces derniers ayant un insigne plus grand. On aperçoit sur le médaillon central un monogramme constitué des lettres A et L entrelacées.

Médaille d’Honneur pour acte de courage et de dévouement

La Médaille d’Honneur pour acte de courage et de dévouement est décernée par le ministre de la Défense (marine), le ministre des transports ou les préfets, par délégation du ministre de l’intérieur.

Cette médaille est destinée à marquer des actes de courage et de dévouements, à l’occasion, par exemple d’opérations de sauvetage.

Médaille d’Honneur pour acte de courage et de dévouement